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Borat, leçons culturelles sur l'Amérique au profit glorieuse nation Kazakhstan (2006)

2 participants

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Borat, leçons culturelles sur l'Amérique au profit glorieuse nation Kazakhstan (2006) Empty Borat, leçons culturelles sur l'Amérique au profit glorieuse nation Kazakhstan (2006)

Message par Kuroro Sam 21 Avr - 15:17

Borat, leçons culturelles sur l'Amérique au profit glorieuse nation Kazakhstan (2006) 512px-Borat-logo.svg

I/Synopsis
Borat Sagdiyev est un reporter kazakh vivant dans la petite ville de Kuzek. Le ministère de l'Information de son pays l'envoie aux États-Unis pour prendre des leçons et améliorer le niveau de vie du Kazakhstan. De fait, la plus grande partie du film est constituée d'entretiens entre Borat et des Américains. Il part avec son producteur, Azamat Bagatov, et son poulet domestique.
À son arrivée à New York, Borat tente tant bien que mal de nouer des contacts avec les passants, tout en satisfaisant ses besoins naturels en pleine rue et en voulant acheter les jeunes filles qui lui plaisent. Il rencontre tout d'abord un professeur d'humour, et a du mal à saisir le concept des blagues sur les belles-mères (qui, selon lui, impliquent forcément le sexe). Un soir dans sa chambre d'hôtel, il regarde un épisode de la série Alerte à Malibu et tombe amoureux de Pamela Anderson. Lors d'une rencontre avec des féministes (auxquelles il tente d'apprendre les récentes découvertes du savant d'État, le docteur Yamak, selon lesquelles la femme a un plus petit cerveau que l'homme), il apprend que l'actrice vit en Californie.
Il convainc donc Azamat de partir à Los Angeles, après lui avoir expliqué qu'on y trouvait « Pearl Harbor et le Texas ». Cependant, Azamat craignant un nouvel attentat (il croit que ceux du 11 septembre 2001 ont été organisés par les Juifs) refuse de prendre l'avion. Borat passe donc tant bien que mal son permis de conduire puis achète une camionnette de marchand de glaces. De là commence son rocambolesque périple...

(merci Wikipedia O/)

II/Fiche Technique
Titre français: Borat, leçons culturelles sur l'Amérique au profit glorieuse nation Kazakhstan
Titre original: Borat: Cultural Learnings of America for Make Benefit Glorious Nation of Kazakhstan
Réalisateurl: Larry Charles
Budget: 18 000 000 $
Genre: Comédie humoristique, voir "mockumentaire"
Durée: 90 minutes, soit 1h30

III/Avis
Alors là, c'est du lourd.
Dans ma vie de petit amateur de cinéma, j'ai trois références en matière de cinéma comique: Fanboys, The Comebacks, et ce film au nom beaucoup trop long, Borat, leçons culturelles sur l'Amérique au profit glorieuse nation Kazakhstan. La différence entre Borat et les deux autres, c'est notamment la manière dont le film est filmé. Borat se veut être sous forme de documentaire, un genre de projet Blairwitch, mais avec un Kazak complètement déluré à la place des étudiants flippés, et les Etats-Unis comme décor. Aussi, plus des 3/4 du film on était tournés en freestyle, c'est à dire qu'à ma connaissance, seules deux scènes on réellement étaient préparés (ceci fait office de spoil sans la truc blanc moche ==>celle chez l'antiquaire (pour ne rien casser de réellement précieux) et celle avec "Pamela Anderson"), ce qui laisse place à une véritable surprise de la part des acteurs, et à une impression de "délire continu".
En bref, Borat est vraiment un film que je recommande, mais, faites gaffes... Y'a deux ou trois scènes de nus.

IV/Accueil auprès du public
Borat, leçons culturelles sur l'Amérique au profit glorieuse nation Kazakhstan, ou Borat comme nous l'appellerons communément, n'a pas bénéficié d'une campagne de pub particulièrement impressionnante. En effet, la véritable pub de Borat, ce fût à sa sortie lorsque, un peu partout dans le monde, des pays, associations et autres médias s’indignèrent d'à peu près tout le contenu du film.
En même temps, il faut dire qu'un film montrant le Kazakhstan comme étant un pays de putes et consanguins antisémites, et critiquant ouvertement [tout], vraiment tout, ne pouvait être particulièrement bien accueillie...
Citons ce cher Wikipedia:
Cependant, certains critiques ont détesté le film. Ainsi, Joe Queenan considère que Sacha Baron Cohen n'est qu'un « odieux bouffon » (« odious twit »). En France, le Figaro parle de « gaudriole lourde et grasse », et L'Humanité parle d'une « grasse bouffonnerie » humiliant les pays du Tiers-monde.
Heureusement, ce même Wikipedia nous montre aussi que certains critiques ont apolonisé (parait il que ça se dit pas...) Borat:
Aux États-Unis comme en France, l'accueil critique a été globalement très positif. Ainsi, l'Express parle d'« une œuvre subversive d'anthropologue averti », Libération d'un « redoutable et hilarant road-movie documentaire » et Télérama considère que « cela s'appelle du grand art ». Le site britannique Rotten Tomatoes lui donne une moyenne de 91 % pour 210 critiques. Metacritic lui donne pour sa part un score de 89, les notes allant de 100 à 5026.

V/Quelques bonus
Pour bien finir cette fiche, je vous propose quelques images de Borat:
Borat, leçons culturelles sur l'Amérique au profit glorieuse nation Kazakhstan (2006) Borat
Borat, leçons culturelles sur l'Amérique au profit glorieuse nation Kazakhstan (2006) Borat-mankini_g
ca, c'est le maillot de bain de Frode Wink

Pis bon... La bande annonce aussi:
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Borat, leçons culturelles sur l'Amérique au profit glorieuse nation Kazakhstan (2006) Empty Re: Borat, leçons culturelles sur l'Amérique au profit glorieuse nation Kazakhstan (2006)

Message par Samanosuke Mar 2 Avr - 20:42

Je fais les fonds de tiroirs des sujets où je n'ai pas posté.

Et bien, ce film donc, on m'avait dit que c'était super drôle, alors je m'étais laissé tenter.

J'ai regardé les 30 premières minutes, j'ai dû sourire à un moment, et j'ai éteint la télé. J'ai trouvé ça d'une nullité affligeante. Alors certes, je n'ai pas vu plus d'un tiers du film (maximum), mais il y a très peu de film qui m'ont ennuyé au point de lâcher prise.

Après, je ne dis pas que le film n'est pas drôle, mais que je ne l'ai pas trouvé drôle.

La popularité du film s'est juste faite sur de la provocation de bas étage.
Kuroro a écrit:la véritable pub de Borat, ce fût à sa sortie lorsque, un peu partout dans le monde, des pays, associations et autres médias s’indignèrent d'à peu près tout le contenu du film.
Je pense que c'était l'effet désiré. S'il n'y a pas de quoi s'indigner (ce ne sont que des blagues de c**), il n'y a pas de quoi s'émerveiller non plus ...
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